Vous vous demandez souvent quoi porter pour vos sorties à vélo printanières ? Vous n’êtes pas seul ! Le printemps est imprévisible, et avoir froid ou chaud lorsque que l’on pédale, et parfois les deux dans la même sortie, c’est courant. Nous vous avons donc préparé un petit guide pour vous assurer de ne pas être habillé trop chaud ni trop léger. Nous y passons en revue les éléments clés de la tenue nécessaire pour profiter du printemps comme il se doit : une saison instable mais magnifique au cours de laquelle c’est un plaisir de rouler.
Mais commençons par vous rappeler ce que nous répétons toujours : il n’y a pas de solution unique adaptée à tous les cyclistes. Chacun est différent, et la meilleure façon de trouver la tenue et les accessoires de vélo qu’il vous faut pour rouler au printemps reposera sur votre expérience et sur celle des autres cyclistes de votre région.
Cache-cou
Le cache-cou est un accessoire essentiel au printemps. Léger, compact, vous pouvez facilement le plier et le ranger ou l’attacher au guidon. Il a plusieurs fonctions : il vous protège le cou bien sûr, mais vous pouvez aussi vous en servir pour couvrir les oreilles, le nez et la bouche. Si vous protégez déjà votre cou avec une veste de vélo ou un maillot à col haut, vous pouvez plier votre cache-cou et l’utiliser comme bandana pour vous protéger tête et oreilles.
Les manchettes de vélo
Vous trouverez des modèles d’épaisseur et en tissus variés. Siroko propose deux modèles différents pour vous adapter à différentes gammes de températures. Les Climatik sont parfaites pour les journées plus chaudes, tandis que les Coldblock sont conçues pour des températures entre 8 et 15 °C. Nous vous disons tout de cet accessoire si pratique et polyvalent dans notre article Quand et comment porter des manchettes de vélo.
Gants de vélo légers
Des gants d’hiver sont très bien tôt le matin pour vos sorties printanières, mais quand les températures, autant extérieure que celle de votre corps, commencent à grimper, les gants lourds deviennent trop chauds ; vos mains seront vite trempées de sueur. Si vous les retirez, il fait trop froid, et vous devrez les renfiler bien vite. La solution ? Des gants légers voire conçus spécifiquement pour les saisons de transition.
Maillot de vélo à manches longues
Voici une autre option délicate, un compétiteur direct des manchettes de vélo et une source importante de doutes dans la communauté cycliste : le maillot à manches longues. Il en existe de plusieurs types, et nous vous avons déjà préparé un guide de quand et comment utiliser chacun. Les maillots de vélo thermiques Siroko M4 sont par exemple parfaits pour les cyclistes sensibles au froid, ou pour rouler dans les régions qui connaissent des printemps frais. Des maillots à manches longues comme les SRX de leur côté seront adaptés à des climats plus doux et pour les cyclistes qui ont tendance à avoir chaud ou à se livrer à des entraînements intensifs. La gamme M2, avec son tissu un peu plus épais et isolant, offre une option intermédiaire.
Sous-maillot
Vous pouvez combiner différentes couches de vêtements de façons variées, selon ce que vous choisissez comme première couche. Un sous-maillot en laine mérinos, manches courtes ou longues, vous offre au printemps une protection supplémentaire contre le froid et vous permet donc d’ajouter simplement un maillot de vélo léger d’été à manches courtes ou longues comme seconde couche. Un sous-maillot mesh de son côté vous gardera au sec par temps chaud, mais s’il fait froid, il faudra lui associer une couche intermédiaire thermique comme un maillot Siroko M4.
Gilet de vélo
Un de nos premiers articles du blog est consacré à quand utiliser un gilet vélo coupe-vent. C’est un vêtement très populaire pour sa polyvalence, que vous pouvez porter toute l’année. Mais c’est au printemps qu’il brille le plus. Tout comme les manchettes, le gilet est facile à enfiler, à retirer et à ranger. Il ne prend pas beaucoup de place et vous aide à réguler votre température corporelle. Siroko vous propose deux options : le gilet de vélo ultraléger et le gilet SRX avec protection thermique et contre la pluie.
Veste de pluie
Le printemps est une saison où la pluie tend à pointer le bout de son nez, et où la météo peut être très changeante. Une veste de pluie légère, facile à plier et que vous pouvez ranger dans les poches de votre maillot est utile non seulement quand il pleut, mais aussi pour se substituer à un gilet de vélo. Cependant, puisque une veste de pluie est déperlante, elle ne sera pas aussi respirante qu’un gilet. Utilisez-la donc seulement quand c’est nécessaire. Voici un guide d’achat des vestes de pluie pour vélo si vous souhaitez davantage d’informations.
Cuissard + genouillères ou jambières
Il faudrait un printemps vraiment froid pour qu’il faille porter un cuissard long. La solution habituelle pour cette période de l’année, c’est de porter un cuissard court combiné avec des genouillères ou des jambières. Nous avons tendance à favoriser les jambières : s’il fait assez froid pour devoir couvrir les genoux, pourquoi ne pas se couvrir toute la jambe ? Et puis, enfiler et retirer des genouillères demande exactement le même effort que d’enfiler et retirer des jambières.
Couvre-orteils – Belgian booties – Chaussettes en laine mérinos
Nos pieds ressentent la même chose que nos mains couvertes par des gants d’hiver. Si nous choisissons de porter des surchaussures d’hiver au printemps, alors nous bénéficions de leur isolation et de leur protection thermique, mais nous finirons les pieds trempés de sueur. Et si nous ne protégeons pas les pieds, alors nos doigts vont geler. C’est pour ça que les couvre-orteils sont un accessoire essentiel au printemps. Pour vous protéger tout le pied, vous pouvez vous tourner vers des couvre chaussures ou des Belgian Booties, une sorte de chaussette qui joue le rôle de surchaussures. Si vous combinez une de ces options avec des chaussettes en laine mérinos, vous bénéficierez d’un plus haut niveau d’isolation thermique.